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Le blog de cours-de-bts-muc.over-blog.com

Bonjour à tous, Je vous propose mes cours et mes prise de notes de BTS MUC et mon expérience. J'ai passé mon diplome en alternance dans une agence d'intérim, si besoin d'information complémentaire sur les cours ou sur tout autre choses, n'ésitez pas a me concter! je vous souhaite une bonne navigation sur le blog ...

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Chp 27 : La coopération internationale en matière d’échange commerciaux (OMC-Régionalisme)

Publié le 19 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Chp 27

La coopération internationale en matière d’échange commerciaux (OMC-Régionalisme)

 

I. Les principales organisations internationales.

         A. Les organisations internationales en matière de développement

 

- Conférence des USA sur le commerce et le développement (CNUCED) ; crée en 64 à l’initiative des pays en voie de développement affin de promouvoir le commerce international plus favorisable aux pays en voie de développement.

- FAO = Food Anagricultur Organisation = Pour aider les pays en voie de développement en développant les ressources agricoles pour lutter contre la faim dans le monde, crée en 45.

- BIRD = Banque International pour la Reconstruction et le développement crée en 45 et qui a pour but d’apporter des aides financières pour le développement des pays.

- SFI = Société Financière Internationale crée en 65 elle a pour but de mobiliser les capitaux pour aider le secteur privé des pays en voie de développement.

 

Les ONG.

 

         B. Les organisations chargées de développer la production

 

- L’OPEP = Contrôler la production de pétrole

- CIPEC = Conseil Intergouvernemental des pays Exportateur de Cuivre, crée en 67 qui réunit le Chili, le Congo, la Zambie.

- L’APPE = Association de Pays Producteur d’Etain crée en 1983 qui regroupe l’Australie, la Bolivie, L’Indonésie, la Malaisie, Le Nigéria, la Thaïlande, la république Démocratique du Congo.

 

         C. Les organisations chargées du développement du commerce

 

OMC qui remplace le GATT à partir du 1er Janvier 1995.

Organisation Régionales : - L’UE (27 pays)

                                       - L’ALENA (Amérique du Nord avec le Mexique) en 1993

                                       - Le MERCOSURE (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay, Venezuela, Colombie, Equateur, Pérou, Bolivie)

 

         D. Les organisations en matière monétaire

 

FMI Crée avec les accords de Bretton Woods en 1944 sont objectif est de favoriser la stabilité des taux de change et aider les pays à se désendetter.

 

II. Du GATT à l’OMC

A.    Les principes fondamentaux du GATT repris par l’OMC

 

L’objectif fondamental du GATT est de libéraliser et de développer les échanges internationaux. Pour atteindre se but l’accord fixe 4 principes qui on été reprit par l’OMC :

- Le principe de non discrimination entre les états ou clause de la nation la plus favorisé. Chaque état doit accorder les mêmes avantages avec les pays avec lesquels il commerce.

- Elimination des contingentements (cotas d’importation). Le seul moyen de protéger les frontières est le droit de douane qui doit être abaissé progressivement.

- Les droits de douane sont fixes.

- L’interdiction du dumping (vente à perte), il apparaît quand un exportateur vend un produit à perte (inférieur au coût de revient)

 

         B. Les obstacles au libre échange

 

- Les droits de douane sont toujours pratiqués

- Les obstacles non tarifaire (normes de sécurité) reste très nombreuse et peuvent dissuader les importateurs = protectionnisme déguisé

- L’expansion du régionalisme (EU, ALENA, MERCOSUR) qui favorise le développement de lien commerciaux privilégié avec les pays proche géographiquement.

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Chp 26 : Le système monétaire international

Publié le 19 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Chp 26

Le système monétaire international

 

L’existence d’un système monétaire international se justifie par les nécessités de contrôler les échanges monétaires au niveau mondial de manière a stabiliser le fonctionnement du commerce international. Le SMI à été mis en place par les accords de Bretton Woods en 1944.

 

I. Historique, évolution du SMI

         A. 1er étape : le Gold Specie standard ou système d’étalon ; or en vigueur jusqu’en 1914

 

Le système de l’étalon or se caractérisait par les éléments suivants :

Chaque devise était définie par un certain poids d’or. Toutes les banques centrales détenaient un important stock d’or.

Tout possesseur de devise pouvait détenir des banques l’équivalent en or.

Des règlements internationaux s’effectuaient le plus souvent en or et les transferts d’or entre les pays étaient courants.

La Guerre de 14-18 à entrainé l’abandon de l’étalon or, en effet l’inflation européenne due à la guerre à provoqué une demande important de produit venant des USA.

Bilan : les stocks d’or européen sont devenus insuffisant pour faire face aux règlements. Il ne fut plus possible de maintenir le système de l’étalon or. On en arriva donc au Gold Exchange Standard

 

         B. 2ème étapes : le Gold Extange Standard ou systèle d’étalon de change – or adopte en 22 à la conférence de Gènes

 

Dans le cadre du système de l’étalon de change or, la monnaie nationale n’est plus convertible en or mais elle peut être échangé à un taux fixe en une ou plusieur devises pouvant elle mêmes être reconverti contre de l’or à un taux déterminé.

La monnaie étrangère choisie comme étalon est qualifié de monnais clè (seul le $ et la livre on eut cette appellation)

 

II. Le système établi par les accords de Bretton Woods (1944)

 

La conférence de Bretton Woods réunissait 44 pays et à aboutit à la création du FMI. Les accords de Bretton Woods reposent sur 3 principes essentiels :

La conversion libre des monnaies entre elles

Permettre aux pays déficitaire d’obtenir des crédits

Assurer la stabilité des taux de changes donc la stabilité du commerce international.

 

L’instauration d’un système de parité fixe ;

Au moment de l’adoption des accords de Bretton Woods en 1944 chaque pays avait déclaré au FMI une parité de sa monnaie nationale par rapport à l’or et par rapport au $. Partant de là les parités on était fixe a plus ou moins 1% par rapport au $. Les parités on était porté à plus ou moins o.75% a partir de 1958 et on était élargie a plus ou moins 2.25% a partir de 1971 jusqu’en 1976.

Dans l’exemple la banque de France devait intervenir sur le marché des changes pour maintenir le cour de Franc à l’intérieur de la partie définie (+/- 1%)

Si la 1er limite était atteinte la banque de France devait acheter des $ contre des Franc, si la 2ème limite était atteinte la banque de France devait vendre des $ contre des Francs.

 

III. L’évolution du système de Bretton Woods

 

Grace au plan Marchal l’Europe au lendemain de la 2nd Guerre c’est rapidement reconstruit et très vite est devenue le principal concurrent des UA. Les produits Européens plus compétitif inonde les USA. La balance commerciale des USA est déficitaire avec l’Europe et en parallèle les firmes Américaines investissent en Europe en apportant du $ et en épuisant les réserve d’or Américaine.

Bilan : on assiste a une perte de confiance vis-à-vis du $ et en 1971 les Américains déclare que le $ n’est plus convertible en or. En 1976 les accords de la Jamaïque marquent l’abandon du système de change fixe qui est remplacé par un système de change flottant.

Toute foi le risque d’écart important entre les monnaies a conduit les états riches (accords du Plazza 1985 et du Louvre en 1987) a signé des accords afin de demander au banques centrales d’intervenir sur le marché des changes lorsque les variations monétaires deviennent trop importante.

 

Le SME Bis ou MCE II (Système Monétaire Européen) ou (Mécanisme de Change Européen) ; depuis la mise en place de l’Euro en 1999 subsiste un SME Bis qui regroupe les pays pré-um (pays qui on la possibilité de rejoindre l’euro mais le souhaite pas, même s’il a tous les critères de convergence).

L’Angleterre, le Danemark, la Suède ainsi que tous les pays qui ne respecte pas les critères de convergence pour intégrer l’Euro (la Laitonie, L’Estonie, la Hongrie, La Pologne … 11 pays)

Dans se SME Bis les bandes de fluctuation sont de +/- 15%. Dans l’UE on a des pays qui on l’Euro et le SME Bis.

 

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Chp 25 : Le change

Publié le 19 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Chp 25

Le change

 

La conversion d’une monnaie en une autre peut s’effectuer lors du règlement des transactions effectué entre exportateurs et importateurs.

Le marché des changes n’est rien d’autre que la rencontre entre l’offre et la demande de devises.

Lorsque la demande d’une devise augmente son cours augmente à l’inverse lorsque la demande d’une devise baisse son cour baisse.

 

I. Notion de base

 

Les taux de change peuvent être fixes ou flottant.

 

         A. Notion de taux de change fixe

 

Le système de taux de change fixe se caractérise par l’intervention concerté des Banques Centrales pour maintenir le cours des monnaies dans des limites préalablement définit.

Une parité = taux de change officiel est déterminé. Ex, une parité de 1% en plus ou en moins par rapport au $ (exemple fictif). Dans cet exemple lorsque l’euro est au plus haut et menace de dépasser la parité fixé à 1%, la BCE doit intervenir sur le marché des changes en venant des € contre des $ pour faire remonter le cours du $ et faire baisser le cours de l’€ et inversement. Ces interventions artificielles des banques centrale sur le marché des changes on pour but de corriger les effets néfastes de la spéculation sur le commerce extérieur.

 

         B. Notion de taux de change flottant

 

Ici aucune marge de fluctuation est fixé et le cours des devises est laissé au libre jeu de l’offre et la demande.

En réalité les banques centrales continue à intervenir sur le marché des changes pour éviter des écarts pouvant porter préjudice aux commerce extérieur du pays.

 

         C. Notion de risque de change

 

Exemple, une importation française doit verser la somme de 10 000$ a un exportateur Américain, le délais est de 1 mois.

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Chp 24 : Le fondement du marché des capitaux

Publié le 19 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Chp 24

Le fondement du marché des capitaux

 

Le marché des capitaux est divisé en deux marchés

- Le marché monétaire

- Le marché financier

 

I. Le marché monétaire

         A. Le marché interbancaire

 

Il est exclusivement réservé aux agents financiers et met donc en relation :

- Les établissements de crédit (banque)

- Trésor public

- Banque centrale (Banque de France)

 

Ce marché permet aux offreurs disposant d’excédent de trésorerie et aux demandeurs de liquidités de se rencontrer et d’effectuer leurs échanges.

La banque centrale assure généralement l’équilibre du marché lorsque les banques manque de liquidité, elle peut leurs prêter de l’argent mais se cette demande est trop forte elle peut augmenter les taux d’intérêts pour faire baisser la demande.

 

         B. Le marché des titres et créances négociables 

 

Les titres et créances négociables portent un nom différent selon l’émetteur. Pour l’Etat on parle de Bon du Trésor négociable.

Pour les entreprises on parle de Billet de Trésorerie.

Pour les banques on parle de Certificats de Dépôt.

Ce marché est difficilement accessible pour les particuliers car le montant minimum est de 150 mille euro, par contre pour les émetteurs cela permet d’avoir des financements plus souple dans la durée et a des taux inférieur à ceux des banques.

 

II. Le marché financier

 

C’est le lieu d’émission et d’échange des valeurs mobilières (actions et obligations)

 

         A. Les différents types de marchés financiers

 

Le marché primaire

C’est le marché sur lesquels les titres sont mis pour la 1ère foi en circulation.

Les entreprises peuvent émettre des actions et obligation par contre l’état ne peut émettre des actions.

Ces titres permettent aux entreprises et à l’état de se procurer des ressources supplémentaires.

Les banques et les sociétés de bourse jouent un rôle de courtage entre emprunteur et prêteurs.

Le marché secondaire ou bourse des valeurs mobilières

Ce marché est le lieu d’échange des titres déjà émis dont les détenteurs veulent se séparer pour obtenir des liquidités ou pour modifier la composition du porte feuille boursier.

En France la bourse de Paris est composé de deux marchés : le 1er qui regroupe les plus grandes sociétés. Les 40 premières entreprises qui réalisent le plus de CA (CAC 40)

Le second marché pour le reste des entreprises coté en bourse.

 

         B. Le marché boursier

 

Certain acteurs interviennent sur se marché et ils ont chacun différent fonction.

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Chp 23 : La Politique Agricole Commune (PAC)

Publié le 19 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Chp 23

La politique agricole commune (PAC)

 

I. Les fondements de la PAC

 

La PAC est le seul exemple d’intégration Européenne touchant un secteur entier économique.

L’article 39 du traité de Rome lui assigne 5 objectifs :

         Accroitre la productivité (rendements agricole)

Assurer un niveau de vie suffisant à la population agricole

Assurer la stabilité des marchés

Garantir la sécurité des approvisionnements

Assurer des prix raisonnable aux consommateurs

 

A. La politique des marchés et des prix

 

La PAC est rentée en vigueur le 14/01/62.

Le 1er règlement    agricole repose sur 3 grands principes fondamentaux :

         Libre circulation des produits agricoles au sein de l’UC

La préférence communautaire qui laisse les acheteurs libre de s’approvisionner à l’extérieur de l’Europe mais qui leur enlève tout intérêt financier à le faire.

La solidarité financière entre les états membres quand aux charges financières entrainé par la PAC.

 

Le régime des prix

Depuis 64 le conseil des communautés fixe au printemps de chaque année les prix de chaque produit agricole.

Le prix commun ou taux vert est un peux indicatif c'est-à-dire un prix que l’on souhaite obtenir par le producteur en moyenne sur l’ensemble d’une période.

Le prix résultant de l’offre et de la demande peut se situer soit en dessous soit au dessus de se prix commun.

Si le prix du marché est plus bas que le prix commun l’offre est alors supérieure à la demande, il y a donc surproduction pour que les prix remontent, la communauté achète les excédents aux agriculteurs.

Si le prix du marché est plus haut que le prix commun, la demande est supérieure à l’offre, il y a pénurie et la communauté intervient en subventionnant les agriculteurs. Les productions déficitaires sont les agrumes, les produits exotique, les oléagineux (les huiles d’olive), le maïs.

 

         B. Protection de l’UE vis-à-vis de l’extérieur

Les prix mondiaux sont souvent inférieurs au taux vert. L’intérêt des  distributeurs constituerai donc à importer des produits extérieur.

Afin de protéger les agriculteurs européens il existe des taxes aux importations dans le but d’amener le prix mondial au même niveau que le prix européen.

Des restitutions aux exportations qui sont versé aux importateurs et qui correspondent à la différence entre le prix communautaire et le prix du marché mondial.

Le financement de l’APC est effectué par le FEOGA (Fond Européen d’Orientation de Garantie Agricole). A son tour le FEOGA se finance par les droits de douane et par un % de TVA perçu par les pays membres.

 

         C. La politique de structure agricole.

 

Pour améliorer les structures d’exploitation :

- On va aider les agriculteurs qui souhaitent se moderniser.

- Prêt retraite accordé aux agriculteurs de plus de 55  ans et les terres libérées par ces départs en retraite seront revendu aux agriculteurs les plus performants.

- Cours de recyclage gratuit pour les personnes voulant partir de l’agriculture ;

- Tout au long de leur vie, formation pour les agriculteurs (informatique, biotechnologie, comptabilité)

 On a aussi des subventions aux agriculteurs des régions défavorisé (montagne, Zone méditerranéenne) les agriculteurs sont très souvent assisté par les subventions.

 

II. Le bilan de la PAC

         A. Le résultat positif

 

La PAC à réalisé une grande partie des objectifs qu’elle c’était fixé :

La sécurité des approvisionnements est assuré, l’UE est autosuffisante dans presque toutes les productions à l’exception de certain produit tropicaux.

Le revenu des agriculteurs à augmenté.

L’agriculture c’est modernisé et a grandement augmenté sa productivité.

Autre point, le commerce agricole intra zone c’est largement développé en 20 ans il a été multiplié par 6.

L’Europe occupe le 1er rang mondial devant les USA.

 

         B. Les problèmes non résolue

 

A partir de 1980 des excédents structurels sont apparu dans les plus part des secteurs (lait, céréales, la viande bovine).

Ces excédent sont du a l’augmentation de la productivité, augmentation de 2% en moyenne par an, du aussi à la recherche agronomique.

Les dépenses du FEOGA doublé en 10 ans, elles représentent aujourd’hui 50% du budget Européen.

Encore aujourd’hui les revenus des agriculteurs sont très disparate.

 

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Chp 22 : La diversité des relations internationales

Publié le 4 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

La diversité des relations internationales

 

I. La nature des relations économique internationale

 

La nature des relations internationales est très diversifiée :

Relation politique et diplomatique

Mouvement de personne

Echange commerciaux de biens et services

Mouvement de capitaux

Echange culturel et intellectuel

 

         A. Les échanges et leurs diversités

 

Tous les agents économiques peuvent potentiellement être des acteurs du commerce international. Les ménages de part leurs achats sont les premiers acteurs du commerce international.

Trois grands blocs (la triade) dominent les échanges mondiaux.

Le PIB de ces trois blocs représente 82% du commerce mondial. Le commerce intra zone (EUROPE, ALENA, Le MERCOSUR, ASEAN) se développe. Le commerce intra Européen représente 1/3 du commerce mondial.

Le commerce mondial est surtout constitué de produits manufacturé (63%), de service (23%) et de matières premières (14%).

Les transfères de technologies sont de plus en plus nombreux. Ils permettent dans de nombreux cas à certain pays de rattraper leur retard technologique.

 

Le transferts de technologie peuvent s’opérer de plusieurs façons :

Les achats de produits de haute technologie

Les brevet et licences, les contrats clés en mains

Les investissements directs à l’étranger

Une entreprise peur acquérir des biens d’équipement (ordinateurs, robots, composants électroniques) qui lui permettront de réaliser sa production dans les même conditions que les entreprises étrangères les plus conpétitives

La concession de brevets permet à des tiers d »exploiter, à des fins de production, une invention.

La fabrication sous licence permet à une entreprise de réaliser un produit sur la base de sprocédés, des savoir-faire, de l’expérience d’une autre entreprise

 

 

         B. Les mouvements de personne et de capitaux

                   1. Les mouvements de personne entre les différents pays.

 

 

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Chp 21 : Libre échange – Protectionnisme

Publié le 4 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Libre échange – Protectionnisme

 

I. Le libre échange - protectionnisme

        A. Le protectionnisme

 

Le protectionnisme se définit comme un système économique dans lequel le commerce et l’industrie d’une notion sont protégés de la concurrence étrangère par des mesures gouvernementale.

Le protectionnisme peut prendre plusieurs formes :

* Droit de douane, il s’agit de mesures gouvernementales tarifaire consistant à taxer les produits importés, les accords internationaux cherchent à les limiter et l’OMC crée le 1er Janvier 1995 en remplacement du GATT dispose de pouvoir assez important pour éviter les abus des états dans se domaine. Les droits de douanes présentent l’avantage d’augmenter les ressources fiscales de l’état et d’augmenter le prix des produits importés se qui freinera leurs demandes.

* Cotas d’importation ou contingentement, il s’agit de limiter quantitativement les importations. Soit un nombre maximum de produits pourrons passer les frontières soit on accorde des licences d’importation pour quelques entreprises.

* Aujourd’hui le protectionnisme prend des formes déguisées (normes techniques difficile à suivre, normes sanitaires…)

Ont peut aussi exclure systématiquement les entreprises étrangères des marchés publics.

 

Le protectionnisme tant aujourd’hui à se régionaliser. Pour l’UE apparaît comme un gigantesque instrument de protectionnisme mais à l’intérieur duquel la liberté des échanges est assuré.

Le protectionnisme reste à la mode malgré tous les discours prônant le libre échange.

Il est courant de justifier la pratique du protectionnisme de la manière suivante :

Permet de préserver les emplois

Renflouer les caisses de l’état avec les droits de douanes

Aide les industries naissantes ou les secteurs en restructuration à s’appuyer sur le marché national pour devenir suffisamment compétitives et pouvoir exporter.

C’est la théorie du protectionnisme éducative de LIST.

 

            B. le libre échange

 

L’argument principal des partisans du libre échange consiste à dire que toutes mesures protectionnistes entrainent de la part des autres pays des mesures de rétorsions. De se fait la réduction ……

 

 II. La balance des paiements et l’équilibre du commerce extérieur

 

La balance des paiements est établit par la banque de France à partir des statistiques douanières, ainsi que les comptes rendu des banques. Elles ressence toutes les opérations économiques et finacière intérvenu au cour d’une période déterminé entre résidents et non résidents.

On parle de balance car il doit y avoir égalité au total des débits et des crédits. La balance des paiements comprend la balance commerce ( la différence entre importations et exportations) le résultat de cette différence est appelé le seuil du commerce extèrieur qui permet de fair ressortir le degrès de compétitivité d’une économie.

Dans la balance des paiements on peut aussi trouver la balance des capitaux.

 

Une part très importante des échanges extèrieur français est effectué avec les pays de l’UE, les 15 représentent 60% des échanges à l’intérieur de l’UE. Le principal client et fournisseur de la France est l’Allemagne.

Le volume des échanges avec les pays en voie de développement reste très faible.

 

*Les points forts des échanges de la France sont :

- Le secteur agro-alimentaire, l’Europe est le grenier du monde, se secteur est toujours excédentaire, la France est à la 2ème place mondial pour les exportations devant les USA.

- Industrie du luxe

- L’automobile

- L’industrie pharmaceutique et chimique

- L’industrie de l’armement (Dasso, Eurocopter …)

- Savoir faire nucléaire

- Secteur du tourisme

- L’aéronautique (air bus)

- L’aérospatiale

 

* Les points faibles des échanges de la France sont :

- Pétrole, énergie (dépendant du dollar)

- Importation des matières premières (minéraux)

- Electronique

- L’informatique

- Le textile

- Les biens de consommation courant

 

Notre balance est légèrement excédentaire.

 

Quand une balance ou l’échange avec un pays est excédentaire on dira que sont taux de couverture est supérieur à 100.

Quand on est en déficit le taux de couverture est inférieur à 100.

 

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Chp 20 : Les fondements du commerce international

Publié le 4 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Les fondements du commerce international 

I. Les théories classiques du commerce international

        A. Les théories de SMITH et RICARDO

                        1. La théorie des avantages absolus d’Adam SMITH

 

Pour SMITH chaque pays a intérêt de se spécialiser dans les productions ou ils possèdent un avantage absolu en matière de productivité et a se procurer à l’étranger les produits pour lesquels il est en infériorité en terme de productivité.

 

                        2. La théorie des avantages relatifs ou comparatifs de David RICARDO

 

L’idée de départ de RICARDO est sensiblement la même que celle de SMITH

            Un pays à intérêt à produire et a exploiter se qui lui coûte le moins chère en coût de production et à importer les produits pour lesquels il n’est pas spécialisés. Par exemple la France à intérêt d’importer des bananes ou du café plutôt que d’en produire sous serre. Mais RICARDO à démontré qu’il fallait tenir compte en plus de l’avantage relatif de la différence des rapports de coût entre les pays.

 

Dans cet exemple on constate que le nord semble avantagé pour la production de machine et pour la production de vêtements, on aurait donc tendance a penser au premier degrés que le nord peut se spécialiser dans la production de machines et de vêtement et que le sud aurait tout intérêt a concentrer ces efforts dans d’autre domaine de production.

Mais si on regarde la 2ème partie du tableau, in voit que le nord à tout intérêt à importer des vêtements du sud.

 

            B. La théorie d’HECKSHER

 

En 1919 HECKSHER affirme que les coûts de productions sont différents entre chaque pays car le prix des facteurs de production sont différent. Chaque pays est donc amené à combiner ces facteurs de productions (travail, capital, RH) de manière différente. Par exemple dans les pays ou la moins d’œuvre est abondante, le prix du travail sera faible et la production se spécialisera dans les biens incorporant une forte proportion de facteur travail et une faible proportion de facteur capital.

II. Les limites aux théories classiques du commerce international

 

L’inconvénient du model de ROCARDO c’est qu’il raisonne de manière ultra simplifié (2 Pays = 2 Biens).

Par exemple se des pays prennent des mesures protectionniste le model de ROCARDO ne peut fonctionner.

 

III. Les nouvelles théories du commerce international.

 

La théorie du cycle de vie de VERMOND (lancement, développement, maturité, déclin)

Un produit peut être en phase de maturité voir de déclin en France et se trouver en phase de lancement ou de croissance dans d’autres pays.

La nécessité de réaliser des économies d’échelle pour rester compétitif.

 

 

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Chp 18 : Déséquilibre économique sociaux dans les pays développés

Publié le 4 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Déséquilibre économique sociaux dans les pays développés

 

I. Les déséquilibres économiques

 

Un déséquilibre est un écart entre l’offre et la demande. C’est le contraire d’une situation d’équilibre ou l’offre et la demande sur le marché s’égalise a un prix d’équilibre qui satisfait les acheteurs et les vendeurs.

Sur le marché des biens et des services un déséquilibre entre l’offre et la demande entraine une variation des prix. L’augmentation durable et générale des prix est qualifiée d’inflation.

Sur le marché du travail un écart entre l’offre et la demande de travail conduit au chômage.

Sur les marchés internationaux un écart important et prolongé entre les importations et les exportations entraine un déséquilibre extérieur.

Ces déséquilibres montrent qui les ajustements naturels ou décidés par les pouvoirs publics qui permettraient le retour à l’équilibre ne fonctionnent pas parfaitement.

Se sont des déséquilibres structurels liés notamment à la complexité croissante de l’économie (mondialisation, pays qui ne se développe pas à la même vitesse, l’évolution technologique, la diversification des produits…)

 

        A. L’inflation et la désinflation

                1. L’inflation

 

L’inflation est une hausse générale et durable des prix.

C’est l’INSEE en France qui mesure l’inflation avec l’IPC (Indice des Prix à la Consommation) calculé sur 303 postes (produits)

Les causes de l’inflation sont diverses :

- L’inflation par les coûts, lorsque les coûts de production augmente plus vite que la productivité (énergie, salaire, prix des importations) se qui incite les entreprises à augmenter le prix de vente.

- L’inflation par la demande, c’est lorsque la demande est supérieur à l’offre.

- L’inflation monétaire c’est lorsqu’il y a de trop de monnaie en circulation dans le pays.

- Les autres causes de l’inflation, les ententes entre les concurrents, les monopoles, les oligopoles, trop grande pression des syndicats, augmentation des prélèvements.

 

Les conséquences de l’inflation peuvent être négatives ou positive.

Négative car l’inflation entraine la baisse des revenue fixe et donc du pouvoir d’achat. Pour les entreprises cela entraine une baisse de compétitivité sur la scène internationale.

Positive car le poids du remboursement des crédits est moins lourd à supporter en période d’inflation. Si cette inflation s’accompagne d’une hausse des salaires correspondante.

 

Aujourd’hui l’inflation est combative.

Pour lutter contre l’inflation l’état peut décider :

- d’augmenter les impôts,

- les taux d’intérêts,

- diminuer les dépenses de l’état,

- bloquer les salaires des fonctionnaires,

- pas de coût de pousse au smic,

- bloquer certain prix (avant l’essence et le gaz)

 

                        2. La désinflation

 

La désinflation est un ralentissement de la hausse générale et durable des prix. Elle ne doit pas être confondue avec la déflation qui est la baisse générale et durable des prix.

 

            B. L’endettement public

 

La dette public est l’ensemble des dettes de l’état résultant des emprunts que celui-ci a émit ou garantit.

Le problème posé par l’endettement public est la lourde charge que représentent le remboursement et le paiement des intérêts.

Aujourd’hui le remboursement de la dette représente plus de 14% des dépenses (l’éducation est autour de 20% des dépenses de l’état)

Aujourd’hui la dette française représente 68% du PIB et avec la crise elle devrait être de 83% fin 2010. de se fait on ne respecte pas un des engagements du traité de Maastritch qui impose que la dette s’un pays ne dépasse pas 60% du PIB, fin 2010 la dette sera d’environ 20 000 € par habitant.

Les causes de se déficite sont :

- Le ralentissement de la croissance et la crise économique qui conduise a une augmentation des dépenses publiques.

- Augmentation des dépenses de santé.

- Augmentation des dépenses pour la retraite.

- Augmentation du chômage

 

II. les déséquilibres sociaux

            A. Le chômage

 

C’est dans les années 60 que le chômage apparaît.

1961 360 milles chômeurs

1973 560 milles chômeurs

1999 3 millions de chômeurs

La tendance depuis Février 2005 était la baisse mais aujourd’hui avec la crise le taux de chômage repart soit une augmentation de 25,8%

 

                        1. La mesure du chômage

 

Le premier problème par le chômage est celui de sa mesure. Pole Emploi ne retient que les demandeurs d’un emploi durable à temps complet et qui n’ont pas d’emploi (c’est les demandeurs d’emploi de la catégorie 1). Cette définition écarte donc tous ceux qui ne travaillent qu’une période de temps limité ou a temps partiel, tous ceux qui sont en stage ou en formation. De plus tous les chômeurs de plus de 55 ans sont dispensés de l’obligation de s’inscrire à Pole Emploi pour recevoir leurs allocations.

Ces chômeurs non recensés sont d’environ 800 mille = chômeurs invisible

Pole Emploi procédé à la radiation des chômeurs qui ne se sont pas rendu a une convocation ou qui refuse des offres raisonnables.

Les calcules de Pole Emploi ne sont qu’une approximation grossière de la situation.

 

                        2. La diversité du chômage et des chômeurs

 

Il existe différent type de chômage :

- Le chômage frictionnel qui résulte de l’inadéquation entre l’offre et la demande de travail.

- Le chômage naturel qui existe des que le nombre de jeune qui rentre sur le marché du travail est supérieur aux départ en retraite.

- Le chômage structurel qui est la conséquence des mutations technologique et des évolutions importantes de l’activité économique.

 

Les chômeurs sont principalement des femmes : 53% d’entre elles sont aux chômages alors qu’elle représente 45% de la population active. Les chômeurs se recrute surtout parmi les précaires c'est-à-dire se qui vivent de mission d’intérim ou de CDD ou de stage.

On trouve également des chômeurs parmi les émigrés et les moins de 25 ans

                        3. Les causes du chômage   

                                   a. Les analyses théoriques

 

Elles correspondent pour l’essentiel aux trois grands courants économiques : le courant libéral, le courant Keynésien, le courant Marxiste.

* l’analyse libérale

Pour les libéraux le chômage provient d’intervention diverse qui empêche le bon fonctionnement du marché. Ainsi les syndicats et l’état on imposé un salaire de niveau excessif qui rend certain  travaux non rentable, ce qui conduit les entreprises à se délocaliser, à licencier, à remplacer les hommes par des machines.

Si on avait librement laissé jouer le marché les prétentions salariales des chômeurs aurait baissé rendant leurs embauches rentables.

De plus l’augmentation de l’allocation chômage et des revenus de transfère pourrait rendre moins pénible le fait d’être au chômage et cela permet de se monter plus exigent sur les emplois proposer (Dou l’inadéquation de l’offre et de la demande)

 

* L’analyse Keynésienne

Le chômage est du a une demande globale insuffisante. Chaque entreprise réduit ces coûts de production se qui réduit la consommation, il faut donc que l’état injecte des revenu supplémentaire dans l’économie pour stimuler la demande et créer des emplois.

 

* L’analyse Marxiste

C’est la recherche du plus grand profit qui crée du chômage. Il existe donc une contradiction dans le système capitaliste en recherchant un profit toujours plus grand et en réduisant au maximum les salaires, les entrepreneurs croient leurs débouchés se réduire.

 

                                   b. les explications pragmatiques

 

* La croissance de la population active.

De 1975 à 2005 les départ en retraite était peut nombreux tandis que les jeunes arrivais en masse sur le marché du travail. De plus lors de cette décennie 70, les femmes et les immigrés sont arrivés en masse sur le marché. (150 mille emploi à créer pour avoir un chômage à zéro par ans). Le résultat de ce phénomène : une croissance importante de la population active, alors qu’en parallèle la crise amplifiait la destruction d’emploi. Depuis 2005, un retournement c’est produit, la population active diminue et elle devrait continuer à baisser jusqu’en 2014-2015.

 

 

* La mobilité de l’emploi

Dans certain secteur les emplois existe (BTP-Restauration) la main d’œuvre répugne à les occuper.

 

* Les autres causes internes

- Innovation technologique (automatisation, informatisation, robotisation)

- Lourdeur institutionnelle (poids des charges sociales)

- Facteurs psychologique et sociologique (difficulté à se former à de nouveaux métiers, peur de déménager)

 

* Les causes externes

La mondialisation (la concurrence internationale, l’interdépendance entre les entreprises, la délocalisation)

 

Le chômage est un phénomène inégalitaire, le taux de chômage augmente au fur et à mesure qu’on descend dans la hiérarchie sociale : les populations qui appartiennent aux professions ouvrière et employé sont les plus vulnérable, le taux de chômage des femmes est supérieur aux hommes, les jeunes de moins de 25 ans sont les plus touché. Le niveau de qualification est une bonne arme contre le chômage.

Au total les principaux critères de discrimination sont l’âge, le sexe, la nationalité, la religion, la qualification.

 

            B. Les inégalités sociales et leurs conséquences.

 

Dans les pays industrialisés, les inégalités sociale se développe et les risques d’une société dual apparaissent avec d’un coté ceux qui sont bien intégré à l’économie de marché et de l’autre les exclues de la croissance, dont les conditions de vie se dégrade.

 

                        1. La marginalisation et l’exclusion.

 

L’accès à l’emploi et au système de formation constitue les raisons principales d’inégalité en France.

Lorsque el chômage diminue, se sont les chômeurs les plus armés et les mieux formés qui profitent de la reprise et non ceux qui sont en difficulté ; ce sont aussi les jeune issues des milieux favorisé qui profite le mieux du système de formation. Les inégalités sociales on tendance à se reproduire de génération en génération.

 

                        2. La crise de la protection sociale

 

Les cotisations pays par les actifs diminues ou stagnes parallèlement le nombre de bénéficières de prestation (chômeurs, personnes âgées) et la demande de soin augmente. Le déficit de caisses gérées par les organismes sociaux augmente. Le système actuel de financement des retraites ne pourra plus faire face aux besoins dans les prochaines années d’autant plus que le nombre d’actifs pour un retraité diminue (3 actifs pour un retraité en 70 et aujourd’hui 2.2 actifs pour un retraité et en 2050 1.4 actifs pour un retraité.

Dans la majorité des pays européen des réforme sont envisagés ou misent en place, elles ont pour objectif l’encadrement plus étroit des prestations.

 

 

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Chp 19 : Politique de lutte contre les déséquilibres économiques

Publié le 4 Avril 2010 par cours-de-bts-muc.over-blog.com dans Economie

Politique de lutte contre les déséquilibres économiques

 

I. Politiques de lutte contre l’inflation.

 

Pour lutter contre l’inflation les pouvoirs publics peuvent réduire la demande en réduisant les dépenses de l’état, en augmentant les impôts et taxes, augmenter les taux d’intérêt, supprimer l’indexation automatique du taux du smic sur l’augmentation des prix.

L’état peut aussi mettre en place un contrôle des prix qui consiste à bloquer artificiellement les prix. Cette mesure est peut efficace car cela réduit l’innovation et cela est protestable dans une économie de marché ou normalement le principe est la liberté des prix.

 

II. Les politiques actives et passives de lutte contre le chômage.

            A. Politiques passives

 

Elles ont pour objectif de prendre en charge l’indemnisation du chômage afin de relancer la demande et d’éviter les crises. Elle se base sur l’assurance chômage et le RSA ; elles sont préconisées par Keynes = Etat providence.

On indemnise mieux les chômeurs, la CAF.

 

            B. Politiques actives.

 

Elles ont pour but de faire reculer le chômage, améliorer l’efficacité de Pôle Emploi, réduire le coût du travail afin de favoriser l’embauche, augmenter la flexibilité du salaire, promouvoir les investissements à la recherche en offrant des facilités de financement.

« Schmidt, les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après demain »

Il privilégie le développement des petites et moyennes entreprises qui créent plus d’emploi que les grandes unités.

Développer le bâtiment, l’énergie renouvelable, les services à la personne.

Préserver les emplois menacés en aidant les entreprises en difficultés.

 

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